L'exposition du Louvre "le Maroc médiéval nous à quelque peu déçues. Pourquoi une telle présence de pièces abimées, cassées, autant de photos ? Les quelques belles pièces présentes dans cette exposition sont noyées dans la masse. Le pourquoi de l'expo nous a paru complexe, d'autant que nous ne lisons pas la totalité des textes proposés, il faut choisir entre dessiner ou lire.
La piste de dessin proposé : petit / grand.
Griffon, animal mythique, heurtoir en bronze...
Minbars et formes géométriques.
Les Minbars, sorte d'escabeau servant de chaire d'où le khatib (iman ou molhah) fait son sermon (khutba) lors de la prière du vendredi dans une mosquée.
Portes et formes géométriques.
Lustre de la mosquée al-Qarawiyyin, de Fès, avec un tout petit encensoir.
Interprétations personnelles.
Texte tiré du site www.Louvre.fr
Du XIe au XVe siècle, une succession de dynasties – almoravide, almohade et mérinide – ont unifié un espace politique et civilisationnel centré sur le Maroc, et étendu jusqu’à l’Andalousie. Leurs conquêtes les ont menées du sud du désert du Sahara (frange nord de la Mauritanie) au nord de l’Algérie et de la Tunisie. L’influence de ces empires, unissant pour la première fois les confins de l’Occident islamique, a rayonné jusqu’en Orient. L’exposition (près de 300 oeuvres) permet d’appréhender cette longue et riche histoire, clef de compréhension du Maroc contemporain et source de sa modernité.
L’exposition incite à relire cette période d’apogée de l’Occident islamique, tant du point de vue historique qu’artistique. Elle présente ses plus belles réalisations dans les domaines du décor architectural, du textile, de l’ivoire ou de la calligraphie et replace cette puissante entité au centre des réseaux diplomatiques et commerciaux qui furent les siens. « Le Maroc médiéval » invite à un voyage dans l’espace marocain et andalou, suivant un fil chronologique. Chacune des périodes historiques est ponctuée d’éclairages sur les lieux de pouvoir et capitales historiques, cités d’or et de lumière.
Commissaire(s) :
Yannick Lintz, directrice du département des Arts de l’Islam, musée du Louvre, et Bahija Simou, directrice des Archives royales, Rabat, Maroc.
Commissaires scientifiques : Claire Delery et Bulle Tuil-Leonetti, musée du Louvre.